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Raphaël Zumofen, Martial Pasquier et Vincent Mabillard
Tuesday 28 June 2022 09:14

Raphaël Zumofen (au milieu), Adjoint de Direction et chercheur à la Haute Ecole de Santé, a remporté avec ses collègues Martial Pasquier (IDHEAP - Université de Lausanne) et Vincent Mabillard (Université libre de Bruxelles), le prix du meilleur paper comparatif de la conférence NISPAcee pour leur étude intitulée  Social media use in Central and Eastern European cities: Defining government-citizen relationships through phases

Conférence annuelle NISPAcee

NISPACee est le réseau des instituts et écoles d'administration publique d’Europe centrale et de l’Est. Son but est de développer la recherche académique et de favoriser de meilleures pratiques liées à l'administration publique dans ces régions. 

La 30e conférence annuelle NISPAcee 2022 s’est déroulée du 2 au 4 juin dernier à Bucarest (Roumanie). Organisée en coopération avec la Faculté de commerce et d'administration publique de l'Université de Bucarest, son thème était : Crises, vulnérabilité et résilience dans l'administration publique.

Un article primé

Dans le cadre de cette conférence, Raphaël Zumofen et ses deux collègues nt présenté leur travail de recherche intitulé  Social media use in Central and Eastern European cities: Defining government-citizen relationships through phases, qui a reçu le prix de Best Comparative Paper Award.

Leur étude porte sur l’usage des réseaux sociaux par les gouvernements et leur échantillon pour cette recherche était les municipalités d’Europe centrale et de l’Est. Dans un premier temps, les chercheurs ont défini 3 phases caractérisant la communication gouvernementale sur les réseaux sociaux :
1. La dissémination d’information ; 2. L’interaction ; 3. La transaction

Puis, en partant de ces phases, ils ont étudié le comportement des municipalités d’Europe centrale et de l’Est comptant entre 100'000 et 500'000 habitants sur les réseaux Twitter, Facebook et Instagram. Ils ont ainsi analysé un total de 82 villes pour arriver à la conclusion que la plupart des villes demeurent essentiellement dans une logique de dissémination d’information. Elles n’entrent pas dans des dynamiques d’interaction de manière régulière et la logique de transaction demeure très peu explorée.  

Lire l'étude

raphaël
Contact:
Adjoint·e de direction, Raphaël Zumofen