Suivre un criminel dangereux à la trace grâce à une puce greffée dans son corps, l'idée proposée cette semaine par Henriette Haas professeure en psychologie à l'Université de Zürich séduit. A peine évoquée, elle se retrouve devant le Parlement par le biais d’une motion. Et pourtant, pour Laurent Sciboz, directeur de l'Institut Informatique de gestion et de l'Institut Icare au Technopôle de Sierre, elle n’est pas possible.
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Virginie Matter